Hello everyone, for all fans of his history, I decides to published this chapter today, because it's my christmas present for you.
Have a great evening and a good christmas eve.
Merry Christmas.
Chapitre 10 : Une relation secrète.
Judy retourna dans le salon accompagné de Nicholas pour passer au prochain suspect, Mary Gazelle. La jeune gazelle portait une robe rouge caché sous un manteau marron. Elle s'approcha de la table avant de s'asseoir et de répondre au questions de la lapine.
Judy Poirot : Mademoiselle Gazelle que faisiez vous hier-soir après le dîner ?
Mary Gazelle : J’étais dans votre ancien compartiment pendant que monsieur Michel était en train de préparer celui que vous avez occupé cette nuit. Je lisais l'un de mes roman préféré : Le Tour du monde en 80 jours. Vers 21H mademoiselle Bellwether est revenu après avoir parlé a l'autre lapine, elle me l’avait dit qu’elle lui avait proposé de l’aspirine. Puis je me suis préparé pour la nuit et je me suis couché, mais j'ai entendu miss Bellwether sortir et quand elle est revenue elle ma dit qu'elle était partie chercher de l'aspirine.
Judy Poirot : Et est ce que l'une d'entre vous est sorti du compartiment ?
Mary Gazelle : Non aucune d'entre nous est sortie.
Judy Poirot: Avez vous entendue parlé de l'affaire Armstrong ?
Mary Gazelle : Oui j'en ais entendue parlé, c’était une affaire qui a fait la une dans les journaux. Mais pourquoi vous me posez cette question ?
Judy Poirot : Casseti le kidnappeur de la petite Cotton Armstrong, est la personne qui est morte hier.
Mary Gazelle (un peu énervé) : Alors ce salopard a eu ce qu'il méritait.
Judy Poirot : Comment connaissiez vous le colonel Bogo ?
Mary Gazelle : On s'est rencontrer dans le train pour le royaume de Chima. On a juste discuté un peu avant de prendre le ferry ou je vous ais rencontré.
Judy Poirot : Et que pensiez vous de lui?
Mary Gazelle : Il me semble être une bonne personne.
Judy Poirot : Veuillez m'excuser mademoiselle mais je vois que vous me dites pas toute la vérité.
Mary Gazelle : Je ne vois pas ce que vous voulez dire ?
Judy Poirot : J'ai entendu une conversation entre vous deux sur le ferry et vous alliez être proches.
Mary Gazelle : Je regrette mademoiselle Poirot, mais il n'y a aucune loi qui m'interdit mon silence.
Judy Poirot : Mademoiselle Gazelle si vous ne répondez a ma question et que je ne trouve pas le coupable alors, en lisant mon rapport la police pourrait vous arrêter comme étant la principale suspect.
Une grosse voix résonna dans le salon, et la détective Judy vit le colonel Bogo dans un costume gris claire avec une chemise orange foncée avec une cravate noire, faire irruption dans l'interrogatoire.
Colonel John Bogo ( énervé) : Laissez la tranquille mademoiselle Poirot, si elle n'a rien a dire alors c'est qu'elle n'a rien a dire, comme elle vous l'a dit rien ne l'interdit d’être silencieuse.
Judy Poirot : Colonel Bogo je vous ait surpris sur le ferry et vous l'avez appelé Mary, cela montre que vous vous connaissiez biens. Vous alliez l'embrasser mais, elle vous a repousse en disant '' Non John pas maintenant, quand tout sera terminé plus rien ne nous entravera''. Qu'est ce que vous attendiez tous les deux la mort de Casseti ?
Colonel John Bogo : CETTE CONVERSATION ÉTAIT D'ORDRE PRIVÉE !
Mary Gazelle (s'adressant a Bogo) : John je vous en prie calmez vous. ( Se retournant vers Judy) Mademoiselle Poirot, il est vrai que John et moi nous nous connaissions bien, mais se que nous nous sommes dit sur le ferry concernait une affaire qui implique seulement nous deux. Et je ne peux malheureusement rien dire, je suis désolé.
Gazelle quitta la pièce.
Colonel John Bogo : Écoutez moi mademoiselle la détective, je vous conseille de laissez Mary tranquille ou je vous règle votre compte.
A ce moment la un cri résonna dans le train, ce qui attira l'attention de Judy.
Judy Poirot : Ce cri vient de la voiture Zootropolis.
Et sur ces mots elle quitta le salon et se rends dans la voiture Zootropolis, ou elle vit la porte du compartiment de madame Hubbard ouverte ou elle trouve Nicholas en train d'essayer de réconforté la lapine.
Judy Poirot : Que vous est-il arrivé madame Hubbard ?
Bonnie Hubbard (Sous le choc) : Le poignard je l'ai retrouvé dans ma trousse de toilette.
Judy vit le couteau sur le lit et envoya Michel chercher le Dr Constantine et un cognac pour calmer madame Hubbard.
Quelques minutes plus tard le Dr Constantine arriva sur les lieux avec Michel qui apporte un verre de cognac qu’il donna a madame Hubbard. Judy montra l'objet trouvé au médecin.
Judy Poirot : Docteur Constantine vous pensez qu'il s'agit de l'arme du crime ?
Dr Emmitt Constantine : Vu la taille de la lame, elle est similaire a celles des blessures sur le corps.
Nicholas Bouc : Le coupable a du le cacher ici pour pouvoir s'en débarrasser, lorsqu'il s'est introduit dans le compartiment de madame Hubbard.
Judy Poirot : Tout ce qu'on a récolté jusqu'à maintenant, c'est que nous avons deux mystérieux passagers a bord, un mouton conducteur et une femme au kimono rouge, nous ne savons pas qui ils sont. Peut être qu'il s'agit d'une seul et même personne. Ou ils sont bien deux et qu'il peut s'agir d'un homme et d'une femme. Nous n'avons pas toujours trouvé l'uniforme et le kimono rouge.
Nicholas Bouc : Je vais m'occuper de chercher ces deux vêtements.
Judy Poirot : Très bien, si vous me chercher je serais dehors, j'ai besoin de prendre l'air pour faire fonctionner mes petites cellules grises.
Judy retourna a son compartiment et enfila sa veste marron avant de sortir du train. Dehors le ciel était sombre, la jeune lapine regarda les montagnes qui se trouvent a l'horizon, avant de se diriger vers la locomotive. Elle marchait entre les deux rails devant la locomotive avant d'entendre un bruit qui venait de derrière. Elle se retourna et vit le colonel Bogo s'approcher d'elle.
Judy Poirot : Vous êtes venu pour régler mon compte ?
Colonel John Bogo : Non, je vous cherchait parce que je voulais vous parler. Tout d'abord excusez moi pour mon comportement pour tout a l'heure. Continuons de marcher un peu, comme ça nous serons seuls pour parler.
Judy Poirot : Eh bien continuons pour discuter.
Colonel John Bogo : Comme Mary vous l'a dit, nous avons quelque chose de personnelle entre elle et moi. Je suis prêt a vous le dire mais je ne veux pas que cela soit mis dans votre rapport, tout cela doit resté secret.
Judy Poirot : Je veux bien garder ça pour moi et de ne pas le mettre dans mon rapport tant que cela ne soit pas impliqué dans la mort de Casseti.
Colonel John Bogo : Voyez vous je suis marié depuis dix-huit ans, mais j'ai vite découvert que ma femme me trompait alors je veux divorcer. J'ai rencontrer miss Gazelle et nous sommes vite tombé amoureux de l'un et l'autre. Mais si ma femme découvre notre relation, elle pourrait contester le divorce et prendre tout ce que je peux offrir a Mary. C’était de ça que nous parlions sur le ferry.
Judy Poirot : Je garderais votre secret. Maintenant vu que vous êtes le dernier passager que je n'ai pas encore interroger et que nous sommes tous les deux seuls, vous pourriez peut être répondre a mes questions.
Colonel John Bogo : Je vous écoute mademoiselle.
Judy Poirot : Etiez vous dans le compartiment de monsieur Finnick cette nuit la ?
Colonel John Bogo : Oui j’étais bien dans son compartiment, nous avons discutés du régime de l'animalisme qui s'est installé en Russie, on a beaucoup discuter sur ce sujet car on est tous les deux précis dans les détails, on a pris un verre ou deux et on s'est quitter vers 2h du matin.
Judy Poirot : Colonel vu que vous aviez été dans l’armée, aviez vous connu le colonel Armstrong ?
Le colonel Bogo commença a fouiller dans sa poche et sortit une pipe qu'il commença a remplir de tabac avant de l'allumer.
Colonel John Bogo : J'ai du connaître 2 ou 3 Armstrong, c'est un nom assez populaire.
Judy Poirot : Je parle du colonel Stuart Armstrong.
Colonel John Bogo : Je ne l'ai pas connu personnellement, mais j'ai beaucoup entendu parler de lui. Il était plutôt un bon soldat, il a même été décoré de la croix Victoria. J'ai entendu votre conversation avec Mary et j'ai découvert que monsieur Doug qui s'appelait Casseti était l'homme qui a tuer sa fille. J'ignore qui a fait ça mais si je voulais le tuer, je l'aurais dénoncer a la police pour qu'il soit jugé avant d’être condamnée a mort.
Judy Poirot : Donc vous êtes plutôt une personne qui préfère les châtiments légaux que la vengeance personnelle.
Colonel John Bogo : Si nous reglons des compte en tuant les gens nous même, alors a quoi sert un jury de 12 ou 13 personnes ?
Judy Poirot : Et je vois que vous fumiez la pipe monsieur Colonel Bogo.
Colonel John Bogo : Oui je fume la pipe pourquoi me posiez vous cette question ?
Judy Poirot : Nous avons retrouvé un cure-pipe dans le compartiment de Casseti, et vous êtes la seul personne a fumer la pipe dans ce train.
Colonel John Bogo : En montant de le train j'ai perdu mon cure-pipe, quelqu'un a du le prendre et le poser dans le compartiment de la victime pour me faire porter le chapeau. Mais comme je vous l'ai dit j’étais dans le compartiment de Finnick quand le crime a été commis.
Judy Poirot : Votre alibi est solide et tiens bien car monsieur Finnick me la certifiée. Et je pense que vous n’aviez pas retrouvez votre epinglette a cravate colonel.
Judy sortit l’epinglette de sa poche.
Colonel John Bogo : Désolez mais je ne porte pas d’épinglette a cravate, car vue que ça fait des trous, pour moi ça abîme les cravate
Judy Poirot : Si vous le dites, je pense que nous devrions rentrez.
Colonel John Bogo : Je suis d'accord avec vous mademoiselle.
Judy et Bogo firent demi tour avant de remonter dans la voiture Zootropolis.
Zootopia character belongs at Disney and Murder on the Orient Express belong at Agatha Christie and the picture belongs at Kendall Colins and the animalism bellngs at George Orwell Chima belong at Warner Bros and the world turn on 80 days belong at Jules Verne
Have a great evening and a good christmas eve.
Merry Christmas.
Chapitre 10 : Une relation secrète.
Judy retourna dans le salon accompagné de Nicholas pour passer au prochain suspect, Mary Gazelle. La jeune gazelle portait une robe rouge caché sous un manteau marron. Elle s'approcha de la table avant de s'asseoir et de répondre au questions de la lapine.
Judy Poirot : Mademoiselle Gazelle que faisiez vous hier-soir après le dîner ?
Mary Gazelle : J’étais dans votre ancien compartiment pendant que monsieur Michel était en train de préparer celui que vous avez occupé cette nuit. Je lisais l'un de mes roman préféré : Le Tour du monde en 80 jours. Vers 21H mademoiselle Bellwether est revenu après avoir parlé a l'autre lapine, elle me l’avait dit qu’elle lui avait proposé de l’aspirine. Puis je me suis préparé pour la nuit et je me suis couché, mais j'ai entendu miss Bellwether sortir et quand elle est revenue elle ma dit qu'elle était partie chercher de l'aspirine.
Judy Poirot : Et est ce que l'une d'entre vous est sorti du compartiment ?
Mary Gazelle : Non aucune d'entre nous est sortie.
Judy Poirot: Avez vous entendue parlé de l'affaire Armstrong ?
Mary Gazelle : Oui j'en ais entendue parlé, c’était une affaire qui a fait la une dans les journaux. Mais pourquoi vous me posez cette question ?
Judy Poirot : Casseti le kidnappeur de la petite Cotton Armstrong, est la personne qui est morte hier.
Mary Gazelle (un peu énervé) : Alors ce salopard a eu ce qu'il méritait.
Judy Poirot : Comment connaissiez vous le colonel Bogo ?
Mary Gazelle : On s'est rencontrer dans le train pour le royaume de Chima. On a juste discuté un peu avant de prendre le ferry ou je vous ais rencontré.
Judy Poirot : Et que pensiez vous de lui?
Mary Gazelle : Il me semble être une bonne personne.
Judy Poirot : Veuillez m'excuser mademoiselle mais je vois que vous me dites pas toute la vérité.
Mary Gazelle : Je ne vois pas ce que vous voulez dire ?
Judy Poirot : J'ai entendu une conversation entre vous deux sur le ferry et vous alliez être proches.
Mary Gazelle : Je regrette mademoiselle Poirot, mais il n'y a aucune loi qui m'interdit mon silence.
Judy Poirot : Mademoiselle Gazelle si vous ne répondez a ma question et que je ne trouve pas le coupable alors, en lisant mon rapport la police pourrait vous arrêter comme étant la principale suspect.
Une grosse voix résonna dans le salon, et la détective Judy vit le colonel Bogo dans un costume gris claire avec une chemise orange foncée avec une cravate noire, faire irruption dans l'interrogatoire.
Colonel John Bogo ( énervé) : Laissez la tranquille mademoiselle Poirot, si elle n'a rien a dire alors c'est qu'elle n'a rien a dire, comme elle vous l'a dit rien ne l'interdit d’être silencieuse.
Judy Poirot : Colonel Bogo je vous ait surpris sur le ferry et vous l'avez appelé Mary, cela montre que vous vous connaissiez biens. Vous alliez l'embrasser mais, elle vous a repousse en disant '' Non John pas maintenant, quand tout sera terminé plus rien ne nous entravera''. Qu'est ce que vous attendiez tous les deux la mort de Casseti ?
Colonel John Bogo : CETTE CONVERSATION ÉTAIT D'ORDRE PRIVÉE !
Mary Gazelle (s'adressant a Bogo) : John je vous en prie calmez vous. ( Se retournant vers Judy) Mademoiselle Poirot, il est vrai que John et moi nous nous connaissions bien, mais se que nous nous sommes dit sur le ferry concernait une affaire qui implique seulement nous deux. Et je ne peux malheureusement rien dire, je suis désolé.
Gazelle quitta la pièce.
Colonel John Bogo : Écoutez moi mademoiselle la détective, je vous conseille de laissez Mary tranquille ou je vous règle votre compte.
A ce moment la un cri résonna dans le train, ce qui attira l'attention de Judy.
Judy Poirot : Ce cri vient de la voiture Zootropolis.
Et sur ces mots elle quitta le salon et se rends dans la voiture Zootropolis, ou elle vit la porte du compartiment de madame Hubbard ouverte ou elle trouve Nicholas en train d'essayer de réconforté la lapine.
Judy Poirot : Que vous est-il arrivé madame Hubbard ?
Bonnie Hubbard (Sous le choc) : Le poignard je l'ai retrouvé dans ma trousse de toilette.
Judy vit le couteau sur le lit et envoya Michel chercher le Dr Constantine et un cognac pour calmer madame Hubbard.
Quelques minutes plus tard le Dr Constantine arriva sur les lieux avec Michel qui apporte un verre de cognac qu’il donna a madame Hubbard. Judy montra l'objet trouvé au médecin.
Judy Poirot : Docteur Constantine vous pensez qu'il s'agit de l'arme du crime ?
Dr Emmitt Constantine : Vu la taille de la lame, elle est similaire a celles des blessures sur le corps.
Nicholas Bouc : Le coupable a du le cacher ici pour pouvoir s'en débarrasser, lorsqu'il s'est introduit dans le compartiment de madame Hubbard.
Judy Poirot : Tout ce qu'on a récolté jusqu'à maintenant, c'est que nous avons deux mystérieux passagers a bord, un mouton conducteur et une femme au kimono rouge, nous ne savons pas qui ils sont. Peut être qu'il s'agit d'une seul et même personne. Ou ils sont bien deux et qu'il peut s'agir d'un homme et d'une femme. Nous n'avons pas toujours trouvé l'uniforme et le kimono rouge.
Nicholas Bouc : Je vais m'occuper de chercher ces deux vêtements.
Judy Poirot : Très bien, si vous me chercher je serais dehors, j'ai besoin de prendre l'air pour faire fonctionner mes petites cellules grises.
Judy retourna a son compartiment et enfila sa veste marron avant de sortir du train. Dehors le ciel était sombre, la jeune lapine regarda les montagnes qui se trouvent a l'horizon, avant de se diriger vers la locomotive. Elle marchait entre les deux rails devant la locomotive avant d'entendre un bruit qui venait de derrière. Elle se retourna et vit le colonel Bogo s'approcher d'elle.
Judy Poirot : Vous êtes venu pour régler mon compte ?
Colonel John Bogo : Non, je vous cherchait parce que je voulais vous parler. Tout d'abord excusez moi pour mon comportement pour tout a l'heure. Continuons de marcher un peu, comme ça nous serons seuls pour parler.
Judy Poirot : Eh bien continuons pour discuter.
Colonel John Bogo : Comme Mary vous l'a dit, nous avons quelque chose de personnelle entre elle et moi. Je suis prêt a vous le dire mais je ne veux pas que cela soit mis dans votre rapport, tout cela doit resté secret.
Judy Poirot : Je veux bien garder ça pour moi et de ne pas le mettre dans mon rapport tant que cela ne soit pas impliqué dans la mort de Casseti.
Colonel John Bogo : Voyez vous je suis marié depuis dix-huit ans, mais j'ai vite découvert que ma femme me trompait alors je veux divorcer. J'ai rencontrer miss Gazelle et nous sommes vite tombé amoureux de l'un et l'autre. Mais si ma femme découvre notre relation, elle pourrait contester le divorce et prendre tout ce que je peux offrir a Mary. C’était de ça que nous parlions sur le ferry.
Judy Poirot : Je garderais votre secret. Maintenant vu que vous êtes le dernier passager que je n'ai pas encore interroger et que nous sommes tous les deux seuls, vous pourriez peut être répondre a mes questions.
Colonel John Bogo : Je vous écoute mademoiselle.
Judy Poirot : Etiez vous dans le compartiment de monsieur Finnick cette nuit la ?
Colonel John Bogo : Oui j’étais bien dans son compartiment, nous avons discutés du régime de l'animalisme qui s'est installé en Russie, on a beaucoup discuter sur ce sujet car on est tous les deux précis dans les détails, on a pris un verre ou deux et on s'est quitter vers 2h du matin.
Judy Poirot : Colonel vu que vous aviez été dans l’armée, aviez vous connu le colonel Armstrong ?
Le colonel Bogo commença a fouiller dans sa poche et sortit une pipe qu'il commença a remplir de tabac avant de l'allumer.
Colonel John Bogo : J'ai du connaître 2 ou 3 Armstrong, c'est un nom assez populaire.
Judy Poirot : Je parle du colonel Stuart Armstrong.
Colonel John Bogo : Je ne l'ai pas connu personnellement, mais j'ai beaucoup entendu parler de lui. Il était plutôt un bon soldat, il a même été décoré de la croix Victoria. J'ai entendu votre conversation avec Mary et j'ai découvert que monsieur Doug qui s'appelait Casseti était l'homme qui a tuer sa fille. J'ignore qui a fait ça mais si je voulais le tuer, je l'aurais dénoncer a la police pour qu'il soit jugé avant d’être condamnée a mort.
Judy Poirot : Donc vous êtes plutôt une personne qui préfère les châtiments légaux que la vengeance personnelle.
Colonel John Bogo : Si nous reglons des compte en tuant les gens nous même, alors a quoi sert un jury de 12 ou 13 personnes ?
Judy Poirot : Et je vois que vous fumiez la pipe monsieur Colonel Bogo.
Colonel John Bogo : Oui je fume la pipe pourquoi me posiez vous cette question ?
Judy Poirot : Nous avons retrouvé un cure-pipe dans le compartiment de Casseti, et vous êtes la seul personne a fumer la pipe dans ce train.
Colonel John Bogo : En montant de le train j'ai perdu mon cure-pipe, quelqu'un a du le prendre et le poser dans le compartiment de la victime pour me faire porter le chapeau. Mais comme je vous l'ai dit j’étais dans le compartiment de Finnick quand le crime a été commis.
Judy Poirot : Votre alibi est solide et tiens bien car monsieur Finnick me la certifiée. Et je pense que vous n’aviez pas retrouvez votre epinglette a cravate colonel.
Judy sortit l’epinglette de sa poche.
Colonel John Bogo : Désolez mais je ne porte pas d’épinglette a cravate, car vue que ça fait des trous, pour moi ça abîme les cravate
Judy Poirot : Si vous le dites, je pense que nous devrions rentrez.
Colonel John Bogo : Je suis d'accord avec vous mademoiselle.
Judy et Bogo firent demi tour avant de remonter dans la voiture Zootropolis.
Zootopia character belongs at Disney and Murder on the Orient Express belong at Agatha Christie and the picture belongs at Kendall Colins and the animalism bellngs at George Orwell Chima belong at Warner Bros and the world turn on 80 days belong at Jules Verne
Category Story / All
Species Unspecified / Any
Gender Any
Size 1280 x 905px
Comments