Chapitre 13 : Une décision a prendre.
Judy Poirot : Ce crime ne pouvait être qu’accompli que par vous tous formant ainsi un jury qui a condamné Ramsès Casseti a la mort.
Bonnie Hubbard : C’était mon projet mademoiselle Poirot, je les ais tous engager pour cette affaire. J’ai demandé a Hardman de localiser Doug afin de savoir ou il se trouvait pour que j’envoie Finnick et Koslov pour travailler auprès de lui comme secrétaire et valet de chambre. Et Finnick a pu nous organiser ce voyage le jour ou Michel était de service afin que nous soyons tous réunit pour cette nuit la. Mais cependant nous ne sommes pas des meurtriers, tout ce que nous avons fait était de réparer une erreur que la justice a commis en administrant la sentence.
Judy Poirot : Mais de quel droit avez-vous fait cela !
Colonel John Bogo (énervé) : Mademoiselle vu que vous êtes du cote de la loi vous devez savoir que notre devoir est de corriger la justice quand elle fait mal son devoir ? Sans la justice que serions nous ?
Judy Poirot : Si il n’y avait pas la loi nous serons toujours a l’age de pierre ou c’est les plus fort qui règnent sur les plus faibles et nous nous comporterions comme des bêtes sauvages.
Benjamin Michel : Mais enfin mademoiselle Poirot Casseti a été déclarer innocent lors d’un procès qui a ete mal fait, il a pu repartir librement sans avoir reçu de sentence. Aurions nous du le laisser impuni pour ce qu’il a fait aux Armstrong et a ma fille ?
Colonel John Bogo : PEUT IMPORTE CE QU’ELLE EN PENSE, ELLE N’AURAIT JAMAIS DU ETRE ICI ET SI NOUS VOULONS VIVRE EN PAIX, NOUS DEVONS NOUS DEBARASSER D’ELLE.
Le colonel Bogo s’apprêtait a bondir sur Judy, mais Miss Gazelle attrapa le bras de Bogo et tenta de le réconforter.
Mary Gazelle : John je vous en prie calmer vous.
Bonnie Hubbard : Si nous la tuons, alors nous serions des tueurs comme Casseti. Si nous sommes ici c’était pour réparer une erreur de la justice, pas pour tuer des innocents. C’était mon projet, dites a la police que c’est moi et moi seul qui a commis ce meurtre. Toutes ces personnes sont honnêtes et ont encore une chance de vivre une vie en paix.
Judy regarda chaque passager, en particulier madame Hubbard avec un grand silence.
Judy Poirot : Dans ce meurtre il y avait le bien et le mal, et entre vous tous il y avait vous tous. Mais si vous voulez repartir librement vous aller devoir en commettre un autre.
Judy sort le revoler avec lequel Finnick lui a tirée dessus et le déposa sur une petite table près des suspects. Nicholas regarda la scène avec inquiétude.
Nicholas Bouc : Tu ne va tout de même pas leur demander de te tuer ?
Judy Poirot : Il vont devoir le faire Nicholas, je ne peux pas mentir a la police, mais toi si. En me tuant ils pourront repartir librement, Il n’auront qu’a cacher mon corps dans la foret je ne les empêcherais pas de le faire.
Tous le monde regarda le revolver sur la table, puis la détective mais aucun d’entre eux ne cherche a agir.
Judy Poirot : QU’ATTENDEZ VOUS FAITES LE MAINTENANT !
A ce moment la madame Hubbard saisis le revolver et le pointa vers mademoiselle Poirot.
Bonnie Hubbard : Toutes ces mammifères sont des gens bien, personne ne mérite d’être pendu a par moi et il n’y a plus rien de vivants en moi, ma vie morte avec Cotton !
Et sur ces mots elle retourna l’arme sur sa poitrine et appuya sur la gâchette avant que quelqu’un ne puisse l’arrêter. Après avoir appuyer, elle vit qu’elle était toujours vivante et constata que le revolver était vide et tout le monde se retourna vers mademoiselle Poirot.
Judy regard tout le monde en silence puis se retourna et quitta le salon.
Le lendemain matin
Judy resta silencieuse en regardant par la fenêtre dans son compartiment jusqu’au moment ou elle entend quelqu’un frapper a la porte.
Judy Poirot : Entrer.
La porte s’ouvre et Nicholas entra dans le compartiment avec une tasse de thé.
Nicholas Bouc : Bonjour Judy, je t’ai amener une tasse de thé que madame Otterton a fait.
Judy prit la tasse et remercia Nicholas.
Nicholas Bouc : Pourquoi leur as tu laisser un revolver non chargé hier soir.
Judy Poirot : Je voulais connaître leurs réactions quand je leurs ait dit que j’ai tout découvert sur cette enquête.
Nicholas Bouc : Que compte-tu faire ?
Judy Poirot : Je n’en sais rien Nicholas, mon devoir et de faire régner la justice, mais qu’est ce qu’est la justice ? Il est vrai que nous devons réparer les erreurs de la justice, mais tuer quelqu’un est contraire a la justice. Et je me pose cette question mérite t-ils tous d’être arrêter pour ce crime ?
Et Linda Hopps a peut être raison ils n’y a que des gens bien ici vu qu’aucun d’entre eux n’a chercher a m’éliminer.
Nicholas Bouc : Je dois te dire une chose Judy, Casseti a cause beaucoup de tort lorsqu’il était en vie, nous devrions pas laisser sa mort en causer d’avantage.
Nicholas fit demi-tour et sortit du compartiment Laissant ainsi la détective seul pour réfléchir a sa décision.
Quelques instants plus tard la neige a été enlevée et la voie fut dégagée permettant ainsi au train de reprendre sa route.
Après 30 minutes de trajet le train arriva a la gare de Tundraville. Judy envoya un télégramme a la gare pour prévenir la police du meurtre a bord.
Quelques minutes plus tard la police arriva sur les lieux avec une ambulance. 4 policiers se dirigea vers Judy (qui portait le deguisement de conducteur dans ses bras), le lieutenant Grizzoli( Un ours polaire) avec son équipier L’officier Loufard ( Un loup gris) et le lieutenant Higgins (un hippopotame) avec son équipière L’officier Francine Pennington (une éléphante d’Afrique) tandis que 2 autres montent a bord du train avec un brancard pour faire descendre le corps de Casseti.
Lieutenant Grizzoli : Excuser moi mademoiselle mais êtes vous la détective Judy Poirot ?
Judy Poirot : Oui en effet lieutenant Grizzoli.
Officier Louffard : Pouvez vous nous dire ce qui s’est passée a bord du Zootopie-Express ?
Judy Poirot : Un passager a été tuer avant hier-soir, il a été poignarder une douzaine de fois dans son lit. Le mobile du meurtre était une vendetta car la victime était Ramsès Casseti le meurtrier de Cotton Armstrong.
Officier Francine Pennigton : Finalement ce meurtrier qu’on recherchait depuis des années est mort.
Lieutenant Higgins : Et avez-vous trouver le coupable.
Sans perdre un instant Judy répondit.
Judy Poirot : Le meurtrier n’est pas a bord lieutenant Higgins, un passager clandestin est monté a bord du train quand on s’est arrêté a la gare de Tropical-city et s’est déguisé en mouton conducteur pour passer inaperçu et voici le déguisement en question.
Judy remis le costume de mouton conducteur au lieutenant Grizzoli.
Judy Poirot : Vous avez sans doutes remarquer qu’il manque un bouton a ce déguisement. A l’interieur des poches il avait un passe de conducteur qui lui a permis d’ouvrir la porte de madame Hubbard qui était la voisine de Casseti pour pouvoir entrer dans le compartiment de Casseti et le tuer . C’est en entrant dans ce compartiment qu’il a perdu le bouton manquant et qu’il en a profiter pour cacher l’arme du crime.
Judy donna une petite serviette blanche a l’officier Louffard qui la déplia et trouva le poignard et le bouton manquant.
Quand au tueur, après avoir cacher le poignard dans le compartiment de madame Hubbard il s’est enfuit par la fenetre de Casseti. Aucun des suspects n’est mêlé a l’affaire car durant l’enquête j’ai pu constater qu’ils ont tous un alibi solide. Et que ce meurtre n’a rien a voir avec l’affaire Armstrong mais pour ses affaires de marchants d’art qui ont du être des arnaques pour de gros clients comme la mafia de Reptiville, car je l’ai entendu dire qu’il a reçu des lettres de menaces depuis Reptiville, mais malheureusement je n’ai aucune preuve pour montrer cela.
Quelques instants plus tard la police quittèrent la gare avec le déguisement, le bouton manquant et le poignard donnee par Judy comme preuve, ainsi que l’ambulance qui emmène le corps de Casseti .
Pendant ce temps Judy qui était retournée dans la voiture de Zootropolis, finissais de ranger ses vêtements dans sa valise avant de la fermer.
Nicholas entre dans le compartiment.
Nicholas Bouc : Alors tu as pris ta décision Judy, tu nous quitte ? Tu ne veux pas qu’on te dépose a Zootropolis.
Judy Poirot : Comme je te l’ai dit avant que la police n’arrive, je quitte le train pour me retirer de l’enquête après avoir dit a la police que le meurtrier n’est pas ici et qu’il s’est enfuit. Et si par malheur a la suite de notre voyage la police revient pour me demander d’autres question. Et je ne veux pas faire d’autres choix qui me pèseront sur la conscience comme celle de la décision que j’ai prise.
Nicholas Bouc : Alors je respecterais ta décision Judy.
Judy prit sa valise et mis son manteau et quitta son compartiment avant de se diriger vers le salon pour sortir.
Judy s’arrêta un instant avant d’entrer dans le wagon.
Nicholas Bouc : J’espère que nous nous reverrons.
Judy Poirot : Je l’espère aussi.
Nicholas Bouc : Au revoir Judy.
Judy Poirot : Au revoir Nicholas.
Les deux animaux serrèrent leurs pattes puis entrèrent dans le salon ou chacun des mammifères était occupés.
Les Andreyeni, le colonel Bogo et miss Gazelle étaient assis sur des chaises attendant le départ, M Manchas et M Hardman etaient en train de jouer aux cartes, M Finnick était au bar entrain de boire un verre de Bourbon avec le docteur Constantine avec Lucien qui les servait, mademoiselle Bellwether était en train de discuter avec madame Otterton comme le faisait M Koslov avec M Michel et Linda Arden qui prenait une tasse de thé avec son amie la princesse Dragomiroff.
Judy traversa le salon laissant Nicholas a l’entrée. Une fois qu’elle arrive a la porte de sortie, elle se retourna et prit la parole.
Judy Poirot : Votre attention s’il vous plaît.
Tout le monde arrêtait leur occupation pour regarder la détective.
Judy Poirot : J’ai appris au cours de cette enquête que notre devoir est de faire régner la justice, mais pour avoir l’équilibre il faut connaître le déséquilibre. Je viens de comprendre que pour une fois dans ma vie je vais devoir vire avec le déséquilibre et un mensonge qui va beaucoup me peser sur la conscience. J’ai dit a la police ma première théorie sur cette enquête qui est celle du tueur solitaire qui s’est enfuit et ils l’ont accepté. Vous êtes tous libre de repartir car tout ce que nous avons dans ce train sont de bons mammifères qui ont beaucoup souffert et qui ont mérités de vivre une nouvelle vie. Je vais maintenant descendre du train pour m’acquitter des formalités, que chacun d’entre vous puisse vivre en paix.
Après avoir dit cela Judy descendit du train. Quelques instant plus tard un coup de sifflet sonna indiquant le depart du train.
Judy regardait chaque mammifères a travers les fenêtres du wagon alors que la locomotive commençait et quand soudain elle entendit quelqu’un l’appeler par son prénom.
Judy se retourna et reconnu un autre de ses grands amis.
Judy Poirot : Gareth qu’est ce que tu fais la.
Gareth Hasting : J’ai appris que ton train a été bloqué et qu’il y a eu un meurtre a bord et que tu as résolu l’affaire après avoir reçu un télégramme de la police yougoslave et monsieur Doucet (Un lion en costume de chauffeur) m’a amené ici parce que quelqu’un souhaiterais nous voir.
Judy Poirot : Et en quoi puis je vous être utile monsieur Doucet ?
Marc-Andreas Doucet : Et bien mademoiselle Poirot on ma demander de vous conduire de tout urgence chez M Paul Renauld.
Judy Poirot : Et qu’est ce qu’il l’attend de moi ?
Marc-Andreas Doucet : Il est en danger de mort mademoiselle, quelqu’un veut sa mort et il vous a donner rendez vous chez lui près d’un terrain de golf sur la place du Sahara.
Judy Poirot : Eh bien on dirait que quelqu’un a besoin d’aide.
Marc-Andreas Doucet : La voiture est garée en face de la gare mademoiselle Poirot.
Judy Poirot : Eh bien allons y.
Judy, Gareth et Marc-Andreas se rendirent a la voiture mais avant de sortir de la gare pour monter en voiture Judy se retourna et regarda une dernière fois le Zootopie-Express disparaître a l’horizon.
FIN
Murder on the Orient Express belong to Agatha Christie, Zootopia characters belong to Disney, the picture belong to Kendall Collins and Marc-Andreas Doucet belong to me.
Judy Poirot : Ce crime ne pouvait être qu’accompli que par vous tous formant ainsi un jury qui a condamné Ramsès Casseti a la mort.
Bonnie Hubbard : C’était mon projet mademoiselle Poirot, je les ais tous engager pour cette affaire. J’ai demandé a Hardman de localiser Doug afin de savoir ou il se trouvait pour que j’envoie Finnick et Koslov pour travailler auprès de lui comme secrétaire et valet de chambre. Et Finnick a pu nous organiser ce voyage le jour ou Michel était de service afin que nous soyons tous réunit pour cette nuit la. Mais cependant nous ne sommes pas des meurtriers, tout ce que nous avons fait était de réparer une erreur que la justice a commis en administrant la sentence.
Judy Poirot : Mais de quel droit avez-vous fait cela !
Colonel John Bogo (énervé) : Mademoiselle vu que vous êtes du cote de la loi vous devez savoir que notre devoir est de corriger la justice quand elle fait mal son devoir ? Sans la justice que serions nous ?
Judy Poirot : Si il n’y avait pas la loi nous serons toujours a l’age de pierre ou c’est les plus fort qui règnent sur les plus faibles et nous nous comporterions comme des bêtes sauvages.
Benjamin Michel : Mais enfin mademoiselle Poirot Casseti a été déclarer innocent lors d’un procès qui a ete mal fait, il a pu repartir librement sans avoir reçu de sentence. Aurions nous du le laisser impuni pour ce qu’il a fait aux Armstrong et a ma fille ?
Colonel John Bogo : PEUT IMPORTE CE QU’ELLE EN PENSE, ELLE N’AURAIT JAMAIS DU ETRE ICI ET SI NOUS VOULONS VIVRE EN PAIX, NOUS DEVONS NOUS DEBARASSER D’ELLE.
Le colonel Bogo s’apprêtait a bondir sur Judy, mais Miss Gazelle attrapa le bras de Bogo et tenta de le réconforter.
Mary Gazelle : John je vous en prie calmer vous.
Bonnie Hubbard : Si nous la tuons, alors nous serions des tueurs comme Casseti. Si nous sommes ici c’était pour réparer une erreur de la justice, pas pour tuer des innocents. C’était mon projet, dites a la police que c’est moi et moi seul qui a commis ce meurtre. Toutes ces personnes sont honnêtes et ont encore une chance de vivre une vie en paix.
Judy regarda chaque passager, en particulier madame Hubbard avec un grand silence.
Judy Poirot : Dans ce meurtre il y avait le bien et le mal, et entre vous tous il y avait vous tous. Mais si vous voulez repartir librement vous aller devoir en commettre un autre.
Judy sort le revoler avec lequel Finnick lui a tirée dessus et le déposa sur une petite table près des suspects. Nicholas regarda la scène avec inquiétude.
Nicholas Bouc : Tu ne va tout de même pas leur demander de te tuer ?
Judy Poirot : Il vont devoir le faire Nicholas, je ne peux pas mentir a la police, mais toi si. En me tuant ils pourront repartir librement, Il n’auront qu’a cacher mon corps dans la foret je ne les empêcherais pas de le faire.
Tous le monde regarda le revolver sur la table, puis la détective mais aucun d’entre eux ne cherche a agir.
Judy Poirot : QU’ATTENDEZ VOUS FAITES LE MAINTENANT !
A ce moment la madame Hubbard saisis le revolver et le pointa vers mademoiselle Poirot.
Bonnie Hubbard : Toutes ces mammifères sont des gens bien, personne ne mérite d’être pendu a par moi et il n’y a plus rien de vivants en moi, ma vie morte avec Cotton !
Et sur ces mots elle retourna l’arme sur sa poitrine et appuya sur la gâchette avant que quelqu’un ne puisse l’arrêter. Après avoir appuyer, elle vit qu’elle était toujours vivante et constata que le revolver était vide et tout le monde se retourna vers mademoiselle Poirot.
Judy regard tout le monde en silence puis se retourna et quitta le salon.
Le lendemain matin
Judy resta silencieuse en regardant par la fenêtre dans son compartiment jusqu’au moment ou elle entend quelqu’un frapper a la porte.
Judy Poirot : Entrer.
La porte s’ouvre et Nicholas entra dans le compartiment avec une tasse de thé.
Nicholas Bouc : Bonjour Judy, je t’ai amener une tasse de thé que madame Otterton a fait.
Judy prit la tasse et remercia Nicholas.
Nicholas Bouc : Pourquoi leur as tu laisser un revolver non chargé hier soir.
Judy Poirot : Je voulais connaître leurs réactions quand je leurs ait dit que j’ai tout découvert sur cette enquête.
Nicholas Bouc : Que compte-tu faire ?
Judy Poirot : Je n’en sais rien Nicholas, mon devoir et de faire régner la justice, mais qu’est ce qu’est la justice ? Il est vrai que nous devons réparer les erreurs de la justice, mais tuer quelqu’un est contraire a la justice. Et je me pose cette question mérite t-ils tous d’être arrêter pour ce crime ?
Et Linda Hopps a peut être raison ils n’y a que des gens bien ici vu qu’aucun d’entre eux n’a chercher a m’éliminer.
Nicholas Bouc : Je dois te dire une chose Judy, Casseti a cause beaucoup de tort lorsqu’il était en vie, nous devrions pas laisser sa mort en causer d’avantage.
Nicholas fit demi-tour et sortit du compartiment Laissant ainsi la détective seul pour réfléchir a sa décision.
Quelques instants plus tard la neige a été enlevée et la voie fut dégagée permettant ainsi au train de reprendre sa route.
Après 30 minutes de trajet le train arriva a la gare de Tundraville. Judy envoya un télégramme a la gare pour prévenir la police du meurtre a bord.
Quelques minutes plus tard la police arriva sur les lieux avec une ambulance. 4 policiers se dirigea vers Judy (qui portait le deguisement de conducteur dans ses bras), le lieutenant Grizzoli( Un ours polaire) avec son équipier L’officier Loufard ( Un loup gris) et le lieutenant Higgins (un hippopotame) avec son équipière L’officier Francine Pennington (une éléphante d’Afrique) tandis que 2 autres montent a bord du train avec un brancard pour faire descendre le corps de Casseti.
Lieutenant Grizzoli : Excuser moi mademoiselle mais êtes vous la détective Judy Poirot ?
Judy Poirot : Oui en effet lieutenant Grizzoli.
Officier Louffard : Pouvez vous nous dire ce qui s’est passée a bord du Zootopie-Express ?
Judy Poirot : Un passager a été tuer avant hier-soir, il a été poignarder une douzaine de fois dans son lit. Le mobile du meurtre était une vendetta car la victime était Ramsès Casseti le meurtrier de Cotton Armstrong.
Officier Francine Pennigton : Finalement ce meurtrier qu’on recherchait depuis des années est mort.
Lieutenant Higgins : Et avez-vous trouver le coupable.
Sans perdre un instant Judy répondit.
Judy Poirot : Le meurtrier n’est pas a bord lieutenant Higgins, un passager clandestin est monté a bord du train quand on s’est arrêté a la gare de Tropical-city et s’est déguisé en mouton conducteur pour passer inaperçu et voici le déguisement en question.
Judy remis le costume de mouton conducteur au lieutenant Grizzoli.
Judy Poirot : Vous avez sans doutes remarquer qu’il manque un bouton a ce déguisement. A l’interieur des poches il avait un passe de conducteur qui lui a permis d’ouvrir la porte de madame Hubbard qui était la voisine de Casseti pour pouvoir entrer dans le compartiment de Casseti et le tuer . C’est en entrant dans ce compartiment qu’il a perdu le bouton manquant et qu’il en a profiter pour cacher l’arme du crime.
Judy donna une petite serviette blanche a l’officier Louffard qui la déplia et trouva le poignard et le bouton manquant.
Quand au tueur, après avoir cacher le poignard dans le compartiment de madame Hubbard il s’est enfuit par la fenetre de Casseti. Aucun des suspects n’est mêlé a l’affaire car durant l’enquête j’ai pu constater qu’ils ont tous un alibi solide. Et que ce meurtre n’a rien a voir avec l’affaire Armstrong mais pour ses affaires de marchants d’art qui ont du être des arnaques pour de gros clients comme la mafia de Reptiville, car je l’ai entendu dire qu’il a reçu des lettres de menaces depuis Reptiville, mais malheureusement je n’ai aucune preuve pour montrer cela.
Quelques instants plus tard la police quittèrent la gare avec le déguisement, le bouton manquant et le poignard donnee par Judy comme preuve, ainsi que l’ambulance qui emmène le corps de Casseti .
Pendant ce temps Judy qui était retournée dans la voiture de Zootropolis, finissais de ranger ses vêtements dans sa valise avant de la fermer.
Nicholas entre dans le compartiment.
Nicholas Bouc : Alors tu as pris ta décision Judy, tu nous quitte ? Tu ne veux pas qu’on te dépose a Zootropolis.
Judy Poirot : Comme je te l’ai dit avant que la police n’arrive, je quitte le train pour me retirer de l’enquête après avoir dit a la police que le meurtrier n’est pas ici et qu’il s’est enfuit. Et si par malheur a la suite de notre voyage la police revient pour me demander d’autres question. Et je ne veux pas faire d’autres choix qui me pèseront sur la conscience comme celle de la décision que j’ai prise.
Nicholas Bouc : Alors je respecterais ta décision Judy.
Judy prit sa valise et mis son manteau et quitta son compartiment avant de se diriger vers le salon pour sortir.
Judy s’arrêta un instant avant d’entrer dans le wagon.
Nicholas Bouc : J’espère que nous nous reverrons.
Judy Poirot : Je l’espère aussi.
Nicholas Bouc : Au revoir Judy.
Judy Poirot : Au revoir Nicholas.
Les deux animaux serrèrent leurs pattes puis entrèrent dans le salon ou chacun des mammifères était occupés.
Les Andreyeni, le colonel Bogo et miss Gazelle étaient assis sur des chaises attendant le départ, M Manchas et M Hardman etaient en train de jouer aux cartes, M Finnick était au bar entrain de boire un verre de Bourbon avec le docteur Constantine avec Lucien qui les servait, mademoiselle Bellwether était en train de discuter avec madame Otterton comme le faisait M Koslov avec M Michel et Linda Arden qui prenait une tasse de thé avec son amie la princesse Dragomiroff.
Judy traversa le salon laissant Nicholas a l’entrée. Une fois qu’elle arrive a la porte de sortie, elle se retourna et prit la parole.
Judy Poirot : Votre attention s’il vous plaît.
Tout le monde arrêtait leur occupation pour regarder la détective.
Judy Poirot : J’ai appris au cours de cette enquête que notre devoir est de faire régner la justice, mais pour avoir l’équilibre il faut connaître le déséquilibre. Je viens de comprendre que pour une fois dans ma vie je vais devoir vire avec le déséquilibre et un mensonge qui va beaucoup me peser sur la conscience. J’ai dit a la police ma première théorie sur cette enquête qui est celle du tueur solitaire qui s’est enfuit et ils l’ont accepté. Vous êtes tous libre de repartir car tout ce que nous avons dans ce train sont de bons mammifères qui ont beaucoup souffert et qui ont mérités de vivre une nouvelle vie. Je vais maintenant descendre du train pour m’acquitter des formalités, que chacun d’entre vous puisse vivre en paix.
Après avoir dit cela Judy descendit du train. Quelques instant plus tard un coup de sifflet sonna indiquant le depart du train.
Judy regardait chaque mammifères a travers les fenêtres du wagon alors que la locomotive commençait et quand soudain elle entendit quelqu’un l’appeler par son prénom.
Judy se retourna et reconnu un autre de ses grands amis.
Judy Poirot : Gareth qu’est ce que tu fais la.
Gareth Hasting : J’ai appris que ton train a été bloqué et qu’il y a eu un meurtre a bord et que tu as résolu l’affaire après avoir reçu un télégramme de la police yougoslave et monsieur Doucet (Un lion en costume de chauffeur) m’a amené ici parce que quelqu’un souhaiterais nous voir.
Judy Poirot : Et en quoi puis je vous être utile monsieur Doucet ?
Marc-Andreas Doucet : Et bien mademoiselle Poirot on ma demander de vous conduire de tout urgence chez M Paul Renauld.
Judy Poirot : Et qu’est ce qu’il l’attend de moi ?
Marc-Andreas Doucet : Il est en danger de mort mademoiselle, quelqu’un veut sa mort et il vous a donner rendez vous chez lui près d’un terrain de golf sur la place du Sahara.
Judy Poirot : Eh bien on dirait que quelqu’un a besoin d’aide.
Marc-Andreas Doucet : La voiture est garée en face de la gare mademoiselle Poirot.
Judy Poirot : Eh bien allons y.
Judy, Gareth et Marc-Andreas se rendirent a la voiture mais avant de sortir de la gare pour monter en voiture Judy se retourna et regarda une dernière fois le Zootopie-Express disparaître a l’horizon.
FIN
Murder on the Orient Express belong to Agatha Christie, Zootopia characters belong to Disney, the picture belong to Kendall Collins and Marc-Andreas Doucet belong to me.
Category All / All
Species Unspecified / Any
Gender Any
Size 1280 x 905px
Comments